Journée nationale du sommeil

Publié dans : Hygiène de vie, vendredi 17 mars 2017, par Delphine, service promotion de la santé

Aujourd’hui, vendredi 17 mars 2017 c’est la journée nationale du sommeil.
Métro, boulot, dodo
La 17ème édition de cette journée s’intéressera particulièrement aux troubles du sommeil et leurs conséquences.

La Journée Nationale du Sommeil permet, chaque année, d’attirer l’attention du grand public sur une occupation qui occupe quasiment un tiers de notre vie. .

A cette occasion, l’unité du sommeil du CHRU de Brest se mobilise et vous propose aujourd’hui des ateliers et informations de 13h30 à 17h dans la salle de conférence au dessus du self de l’hôpital Morvan, pour s’interroger sur l’influence du sommeil de l’un sur le sommeil de l’autre et faire le point sur les facteurs qui peuvent altérer les conditions de sommeil et les solutions pour en limiter les impacts négatifs.
 atelier sur l’apport des techniques non médicamenteuses dans les troubles du sommeil (Mme Bourhis, cadre formatrice Qi Gong, Mme Le Beux, cadre de nuit, sophrologie, Mme Miller, psychologue et hypno thérapeute)
 visite virtuelle de l’unité sommeil / stand d’informations par l’équipe paramédicale
 conférence , présentation de l’étude INSV "Dormir seul ou pas ?" par le Dr Emeline Le Cadet-Woh, neurologue. ( INSV : institut national du sommeil et de la vigilance http://www.institut-sommeil-vigilan...).

Par ailleurs l’Institut du Sommeil et de la Vigilance édite un Livre Blanc "Sommeil : un enjeu de santé publique", ouvrage destiné aux pouvoirs publics et aux acteurs économiques concernés par le sommeil, et un passeport pour le sommeil, nouvel outil pour optimiser sa propre "stratégie du mieux-dormir", destiné au grand public.

Les troubles du sommeil ne sont pas une fatalité :
Peu informés, beaucoup de ceux qui sont atteints de troubles du sommeil les considèrent comme une fatalité, une situation à laquelle il faut s’habituer. Plus de la moitié des personnes concernées n’ont jamais parlé de ce problème à un professionnel de santé.
Cette journée est l’occasion d’informer le public : le médecin traitant reste le premier interlocuteur, pour le sommeil comme pour le reste de la santé.